Ne mets pas de vetements propre.
Cela te designerait comme un étranger
Ne lisse pas ta peau avec la douce huile odorante
d'un bol
Ils t'assailleraient et s'installeraient tout autour de toi
Ne lance pas ton bâton de jet dans le monde d'en dessous
Ceux que le bâton de jet frapperait reviendraient et te menaceraient
Ne transporte pas de bâton de commandement dans tes mains
Les ombres te jetteraient une sombre malédiction.
Ne pousse pas de hurlement dans la place du cri sorti de la terre
N'embrasse pas ta femme bien aimé ni ne frappe la femme que tu hais
N'embrasse pas tes enfants bien aimé ni ne frappe les enfants que tu hais
La chanson des mort retentira autour de toi
Celle qui dort, Celle qui dort, la mére de la naissance et de la mort, celle qui dort
Ses epaules nue qu'aucune étoffe ne couvre, son sein comme un bol de pierre qui ne donne pas de lait.
Dans un autre texte en sumérien datant de 1750 av JC relatant le retour de Ninurta(le dieu de la guerre et de la chasse sumérien) à Nippur(extrait traduit de l'anglais du Electronic corpus of sumérian text, Oxford):
Ninurta vient à nippur pour voir son pére Enlil et sa mère Ninlil en habit d'apparat.
Si grande est la splendeur du jeune dieu qu'un messager de Nippur vient acceuillir le jeune guerrier dieu pour lui dire que sa venue est si magnifique qu'il serait sage de diminuer un peu sa prestance.
Ainsi s'execute Ninurta en posant certaines de ses armes, pas toutes, pour entrer dans le temple d'Enlil pour y être acceuilli par sa mére et Anunnaki
140-145 Je porte le deluge de la bataille, qui est ma mace à cinquante tête. Je porte la tempête qui attaque les humains, qui est mon arc et mon carquois. Je porte celui qui emporte les temples des terres rebelles qui est mon bâton de jet et mon bouclier. Je porte celle qui aide les homme, qui est ma lance. Je porte celui qui apporte la lumière du jour qui est mon destructeur des montagnes. Je porte celui qui maintient les peuples dans le paradis et sur la terre, Celui auquel mon enemi ne peut echapper.
Egalement deux objets au musée du louvre, on retenu mon attention:
Petit bas relief provenant d'Eshnunna répresentant deux danseurs tenants des claquoirs?
ou des paires de bâton de jet qui leur servent de claquoirs?